Jacky Gillmann
PPP erfordert Überlegungen übers reine Bauen hinaus, was für alle Beteiligten von Vorteil ist.
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Le partenariat public-privé n'est pas la panacée
Le partenariat public-privé n'est pas la panacée. Convaincu par la ministre des finances Eveline Widmer Schlumpf, le Conseil des Etats a refusé jeudi par 18 voix contre 12 de privilégier cette voie pour les nombreux investissements qui attendent la Confédération.
Dans un postulat, Pirmin Bischof (PDC/SO) voulait que le Conseil fédéral indique comment développer et mettre en place de nouveaux financements, notamment sous la forme de partenariats public-privé, dans les domaines de l'énergie, de la communication, des transports, de la formation et des assurances sociales.
Il ne s'agirait pas de choisir dès à présent une solution ou une entreprise mais d'avoir une vue d'ensemble, étantdonné l'ampleur des nouvelles sources de financement qu'il faudra trouver ces prochaines années, a plaidé envain le Soleurois. Le partenariat public-privé est l'une des solutions qui permettent de mobiliser des capitaux supplémentaires pour réaliser des investissements, a reconnu la ministre des finances.
La Confédération étudie donc au cas par cas s'il s'agit d'une option avantageuse. Mais ce n'est pas la panacée. Le partenariat public-privé est possible dans certains domaines comme la construction de bâtiments administratifs ou la culture mais n'est pas adéquat pour l'AVS, l'assurance-invalidité ou l'éducation et peuprobable pour les infrastructures nationales.
Autor/Herausgeber | SDA |
Quelle | SDA |
Datum | 13.09.2012 |
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